On était le 16, je savais un barbecue organisé pour la famille. Mon père était déjà prêt, j'avais juste eu le temps de finir les glaçages avant d'avoir un message de sa part. "ON SE REJOINDS LÀ BAS." Il avait encore oublié comment retirer les majuscules. J'avais ris, et mis en boites mes desserts, gâteaux, muffins et autres gourmandises. Un petit saut à mon appart au dessus pour prendre une douche. Une robe d'été, longue, lâche, de quoi cacher le ventre qui commençait à pointer son nez. Encore secret, je ne pouvait parler de ça à personne, déjà ne pas prendre de bière serait un crime alors bon... Snow prêt pour le départ, il allait retrouver le chien d'Arès, et profiter de la soirée lui aussi. Direction le Crépuscule.

Arrivée sur place, j'entre en regardant s'il y a du monde.. Personne. Ils sont surement à l'arrière, mais moi je me rends en cuisine. "Hey salut !" Dis-je en croisant Astéria. Une bise sur sa joue et je pose les cartons remplis des desserts sur le plan de travail. "Comment tu vas? Mon frère est là?" Mon père était déjà ici, j'avais vu sa moto en garant la camionnette de Délice. Snow lui était à côté de moi attendant l'ordre d'aller rejoindre les autres à l'arrière, il connaissait bien la maison lui aussi.

Je suis en train de poser les gâteaux, As’ est là, Blake arrive, je fais signe à Snow d’aller le voir, il peut, c’est la famille, je ne veux juste pas qu’il dérange les autres, William est déjà cool d’accepter les chien ici. « C’est déjà top, ne t’en fais pas tout le monde ramène un truc. » Dis-je au brun qui vient d’arriver en lui faisant une bise, toujours tactile et amical avec ses amis qui sont la famille qu’on a choisi, celle de mon père, de mon frère mais avec qui j’ai toujours aimer être moi aussi.

Rapidement Mufasa arrive avec Odin et Arès, je prend mon petit bout dans les bras, neveu d’amour, pincement au coeur en pensant à ce bébé qui grandit en moi.. Mais il court dans les bras de mon père, qui vient d’arriver. « Il est pas idiot, c’est toi qui ne parle qu’avec ton estomac, heureusement que tout le monde n’est pas comme toi. » Je le taquine et embrasse sa joue en passant devant lui. Mon père se rapproche de nous, je le serre dans mes bras, enfin chez moi, son odeur rassurante, sa présence, c’était trop long de ne pas le voir une semaine presque. « Papa.. Je suis pas une princesse,.. » je soupire avant de lui répondre. « Ca va, débordée à Délice mais ça va…Et ton voyage? »

Ce barbecue tu sais qu’il va être un peu différent des autres, devant tous tu dois faire semblant que rien ne se passe avec la belle blonde, personne est au courant de ce qui c’est passer. Seul Témis se doute de tes sentiments ayant décidé de te confier à ta petite soeur avant de sauter le pas. Tu arrives dans la cuisine et tu y trouves déjà trois personnes dont celle qui fait battre ton coeur. Un petit mot pour celle-ci qui te répond, tu aurais cette envie de l’embrasser mais tu te retiens, pas devant tout le monde. “Au moins je pense pas avec mon costume à trois pièce comme tous les hommes.” ( @Artémis Ashcomb ) Que tu réponds à ta petite sœur. Même si le premier que tu vois regarder ta petite sœur avec envie, tu lui crèves les yeux. Ton paternel qui finis par arriver, il te demande comment tu vas alors naturellement tu lui réponds. “Comme toujours et toi le vacancier ?” ( @Chuck Ashcomb )Tu as cette habitude que ton fils soit la vedette, c’est le petit dernier. “Tonton carst, il est un peu din-din dans sa tête” que tu dis à ton fils tout en riant. “Jamais.” ( @Carsten Blackwood ) Ou alors si mais tu ne le diras pas, parce que c’est ton fils et que personne ne doit savoir que parfois tu as envie de craquer tellement c’est dur, d’autant plus les nuits où il te fait des cauchemars. “C’est normal papa il est pas doué ma puce, il sais pas démarrer une moto.” Que tu réponds à la petite te doutant bien de ce qu’elle veut parler. “Alors là débrouille toi Carst, moi j’ai déjà mon petit.” D’ailleurs tu finis par le mettre par terre, parce qu’il marche à 18 mois. As te demande un coup de main et c’est avec joie que tu lui rends ce service, te mettant juste derrière elle pour lui attraper un saladier. Tu te colles à elle et immédiatement tu sens le désir charnel t’envahir, désir que tu tais immédiatement. “Et voilà la naine.” ( @Astéria Blackwood ) Devant faire comme si de rien était devant tous.