Logement : 739 Marlem (maison sur la propriété du club où il vit avec sa môme)
Occupation : Co-gérant d'un stripclub façon cabaret avec fightclub, l'Urukaï. Y joue aussi les barman.
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Avatar : Tom Hardy
Crédits : Hardyness
Lun 9 Mai - 15:15
Asteria & Carsten
Calé dans un coin du canapé, les jambes étendues sur la table basse, un bol de glace vanille-caramel en mains, Deva vient se caler contre moi exprès pour me gêner dans le mouvement alors qu'elle a finit son cornet.
- Papa, mais comment tu manges ??!! s'amuse-t-elle en me poussant dès que je porte la cuillère à mes lèvres, laquelle m'atterrit sur le nez.
- On se le demande... .
Elle rit puis arrête son manège pour me laisser finir tranquille, s'attaquant à sa tante.
- Tati, t'as pas pris du poids depuis la dernière fois ?
Je laisse échapper un rire et manque d'avaler de travers.
- Chipe lui son bol, c'est pour son bien... soufflais-je en douce à ma môme en me penchant à son oreille.
- Bah c'est bien là ma tactique ! chuchote-t-elle.
On chahute ainsi avant de finir nos glaces puis Deva vient se blottir tout contre moi. On regarde la fin du dessin animé entamé avant le dîner tous les trois. Je gave ma gosse de japanimation parce que je n'ai jamais pu piffer Disney et que leurs "œuvres" si on peut qualifier ça ainsi, sont devenues de véritables bouses, autant au niveau du graphisme que du message derrière la plupart d'entre eux. Les dessins animés japonais sont d'un graphisme à tomber, en particulier les Miyazaki et il y a de vraies leçons dedans, sans compter toute la culture japonaise ô combien riche. On regarde ainsi "le voyage de Chihiro", un de nos préférés avec Deva. Quand je repense à Disney, combien de fois je me suis pris la gueule avec les fans. Ça me fait sourire parce que ça étonne toujours tout le monde que je m'enflamme de la sorte dès qu'on parle de ce sujet. je voue presque une haine viscérale à ce studio de merde, sans déconner... . Bref, il est bientôt temps pour ma gosse d'aller au lit, elle ne fait pas de difficultés puisqu'elle s'est endormie avant la fin ; aussi, je la soulève entre mes bras pour la monter dans sa chambre à l'étage. Elle se réveille à peine et je dépose un bisou sur son front après l'avoir bordée. Bonne nuit ma puce... . En redescendant près de toi, je te balance une de ses peluches qui traine dans l'escalier, sur la tronche. T'es ma frangine, normal que j'aime te faire chier. Et ouais, paye tes privilèges !
- J'te laisse le choix du film, choisis ce que tu veux sauf un truc qui va me hérisser le poil. Voyons si tu me connais bien ... . Si tu te plantes, tu t'en prends une.
J'en profite pour m'étaler à moitié sur toi, me calant, jambes étendues sur le canapé, la tête sur tes genoux.
Une soirée agréable avec le frère et la nièce était prévue. Installé confortablement dans le canapé, les pieds sur la table basse, un cornet de glace à la main, l’autre écrit discrètement à Arès. Cela n’est pas simple, afin de ne pas attirer l’attention du frère qui n’appréciera pas le jour où il apprendra la nouvelle. Il faut que le cœur se décide à parler au paternel, ainsi qu’à Carsten, mais cela est compliqué. Le rire de Deva sort l’esprit des pensées, alors que la cuillère du frère vient terminer sur son nez. Rire s’échappant également des lèvres, alors que les yeux se lèvent au ciel. « Ton père n’a jamais su manger ! » Petite taquinerie, alors que la relation entre les deux cœurs a toujours été très forte, bien que rythmer par les petites piques. Mais bien évidemment, la nièce tient de son père qui se marre de la connerie lancée. « Je te dirai bien des choses, ma puce, mais tu es trop petite pour les entendre. » Le cœur ne s’en vexant pas, alors que c’est bien tout le contraire, vu que le corps saute facilement les repas. L’ouïe entendant facilement la tactique de la demoiselle. Aussi, la main tend la glace dans sa direction, afin de lui offrir un autre dessert. « Tiens petite chipie. » Pupilles se reconcentrant sur le film, tentant de se contrer. Pensées dérivant vers Arès, se demandant en quoi il peut bien occuper sa soirée. Sûrement avec Odin. L’envie de le voir est cuisante et pourtant, profiter de la famille chasse cet élan de tristesse qui gagne le cœur. Deva finit par s’endormir. Sourire se faisant sur les lèvres, alors que le frère l’attrape pour aller la coucher. « Je vais me faire un café le temps que tu l’emmènes au lit. Tu veux quelque chose ? » Pas se dirigeant vers la cuisine qui est bien connue, appuyant sur la cafetière. Doigts pianotant rapidement sur l’écran pour répondre au Biker, faisant attention à ce que Carsten ne soit pas encore redescendu. Corps retournant s’installer sur le canapé, posant la tasse sur la table. Au même instant, une peluche arrive en pleine tête, faisant redresser les pupilles vers le frère. « Toi alors, t’en perds pas une ! Prochaine fois, je te la fais bouffer ta peluche. » Un léger rire s’échappe des lèvres. Carsten s’installe sur les jambes, alors que la réflexion se fait. « Un film d’action non ? Tu sais bien que j’y connais rien ! » Jouant avec les mèches de cheveux du frangin, l’attente est patiente pour savoir quoi mettre. Se penchant doucement pour attraper la tasse de café, cela fait du bien au cœur de passer un moment pareil en famille. « Quoi de neuf sinon ? » Le temps du générique, il est bon de pouvoir échanger un peu.
(c) Dandelion
Astéria Blackwood
Carsten Blackwood
s’énerve très facilement
Carsten Blackwood
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Date d'inscription : 06/05/2022
Âge : 39 ans
Situation amoureuse : père célibataire
Orientation : bi
Enfants : Deva, ma fille de 6 ans
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Mar 10 Mai - 14:57
Asteria & Carsten
« Je vais me faire un café le temps que tu l’emmènes au lit. Tu veux quelque chose ? »
- La même, m'arrêtais-je un instant à mi escalier avant de poursuivre mon ascension. Une fois redescendu, je me ré-installe en m'appuyant contre toi, tête sur tes genoux.
- Qu'est-ce que t'as voulu sous-entendre à ma gosse quand tu lui as dit que tu lui narrerais bien des choses sur mon compte si elle n'était pas si jeune ? T'as quoi comme dossier sur moi au juste ?! demandais-je en pivotant sur le flanc pour récupérer ma tasse fumante et en boire une gorgée. Puis je reprends ma position et joue un instant avec l'une de tes longues mèches de cheveux en l'entortillant autour de mes doigts tandis que tu me papouilles toi-même les cheveux.
- J'te laisse le choix du film, choisis ce que tu veux sauf un truc qui va me hérisser le poil. Voyons si tu me connais bien ... . Si tu te plantes, tu t'en prends une.
« Un film d’action non ? Tu sais bien que j’y connais rien ! »
- Humpff ... trop facile. Tu m'fais honte, tu connais pas ton frangin.
Je me redresse pour aller mettre un bluray au feeling puis m'installe dans l'angle du canapé en L pour boire tranquillement mon café. Mon choix se porte sur "Only Gods forgive" de Nicolas Winding Refn, un réalisateur que j'adore. Le temps de terminer mon café, mes pensées dérivent et je songe à cette femme. Celle qui occupe mes pensées de façon trop importante ces derniers temps. Cette femme dont je suis censé me rapprocher un tant soit peu pour mieux pouvoir la prendre au piège. Ce piège que j'exècre de plus en plus à refermer sur elle... parce qu'elle me plait, c'est évident et surtout parce que si d'ordinaire je ne me préoccupe pas du passé des personnes et que je m'y attache encore moins quand il s'agit du milieu où je gravite, du côté illégal disons, là je suis en train de me faire rattraper par tout ça et je sais pertinemment que je vais vite me retrouver dépassé si je laisse quelconque foutu sentiment prendre le pas sur ce dont on m'a chargé.
« Quoi de neuf sinon ? »
- "Quoi de neuf" relevais-je. Tu te fous de ma gueule avec ta question à la con ?! T'as rien de plus original à me balancer depuis le temps que t'es là ?
Ah putain ! Merde ! Ma frustration prend le dessus sur le reste. En soi, As connait parfaitement mon caractère de merde mais là c'est surgit sans prévenir. Toujours prompt à m’enflammer sans prévenir. En même temps, la parlote inutile m'agace parfois vivement, plus encore quand je commence à ruminer. Mais je ne dois rien lui montrer sinon ça va lui mettre la puce à l'oreille. Elle sait que le plus gros du temps, quand je deviens agressif sans prévenir, c'est que quelque chose n’empoisonne l'esprit. Quoi qu'il en soit, je connais assez ma frangine pour savoir qu'elle ne va pas se laisser mener. Je vais peut-être bien me prendre plus qu'une peluche dans la gueule.
Le corps se redresse pour aller faire un café, alors que le frère emmène la petite princesse au lit. Une fois dans la cuisine, la cafetière allumée, les doigts pianotent rapidement sur l’écran en répondant à Arès. Les pensées ne sont pas sereines, alors que les yeux vérifient régulièrement que Carsten ne redescend pas. Pas retournant auprès du canapé, posant les deux tasses sur la table basse. Au même instant, une peluche vient atterrir dans le visage. Grognement envers le frère, alors que la menace n’est que là pour rire. Aîné venant se glisser sur les genoux, alors qu’il demande des informations supplémentaires sur la phrase de tout à l’heure. « Bien sûr que j’ai des dossiers sur toi. J’ai même encore une ou deux photos de toi, quand tu étais gamin, encore un peu rond. Vu que vous vous foutiez de ma gueule alors que j’ai perdu du poids, et non pris. » Le corps ayant maigri alors que les repas ne sont pas nombreux au quotidien. Frère jouant avec les mèches de cheveux, alors que les doigts se glissent dans les siens pour papouiller son cuir chevelu. Carsten reprenant alors que l’esprit ne sait nullement vers quoi se tourner. Chose bien compliquée, car les pensées n’y connaissent rien aux films ou séries. Une légère tape sur sa tête, alors qu’un sourire se dessine sur les lèvres. « Bien sûr que je te connais, espèce d’accro à la caféine. » Similitude entre les deux âmes face à la boisson. Carsten se redresse pour aller mettre un film. Corps en faisant de même pour attraper la tasse de café, prenant une gorgée avec plaisir. Jambes se glissant sur le côté, alors que la tasse est gardée entre les mains pour profiter de la chaleur agréable sur l’épiderme. Générique passant, aussi, les paroles peuvent être échangées alors que l’esprit ne connait pas le film choisi. Frère réagissant immédiatement sur la défensive. Yeux se tournant vers lui, alors que l’esprit ne se vexe nullement de ce comportement. Ame connaissant parfaitement l’aîné Blackwood pour savoir de quoi il en retourne. « Hé tu baisses d’un ton j’suis pas ta pote. » Grincement de dents pour lui rappeler la vérité, avant de reprendre. « Sinon je te mets une raclée pour te remettre les idées au clair. » Malgré le petit gabarit, le corps a été entrainé avec conviction par le père et le frère. Aussi, l’âme sait parfaitement se défendre, si la situation le demande. Avalant une gorgée de café, la tasse posée sur les genoux, les pupilles détaillent le frère. Quelque chose le tracasse, c’est certain. « Qu’est-ce que tu as Car’ ? Tu sais que tu peux tout me dire. Alors au lieu de me parler comme à un clébard, explique que je puisse t’aider ! » Claquement de langue agacé, avant d’appuyer sur le bouton pause de la télécommande. L’idée de regarder un film est bien oubliée pour l’instant. Téléphone s’allumant, alors que les doigts répondent rapidement à Arès avant de le poser aux côtés des jambes sur l’écran, afin de ne plus être interrompue.
(c) Dandelion
Astéria Blackwood
Carsten Blackwood
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Crédits : Hardyness
Mer 8 Juin - 12:31
Asteria & Carsten
« Bien sûr que j’ai des dossiers sur toi. J’ai même encore une ou deux photos de toi, quand tu étais gamin, encore un peu rond. Vu que vous vous foutiez de ma gueule alors que j’ai perdu du poids, et non pris. »
- Déconne pas As, rond ouais mais ultra mignon. Pis du dossier remontant à l'enfance, ça pèse que dalle.
Je me redresse bientôt pour aller mettre le film choisi.
« Quoi de neuf sinon ? »
- "Quoi de neuf" relevais-je. Tu te fous de ma gueule avec ta question à la con ?! T'as rien de plus original à me balancer depuis le temps que t'es là ?
« Hé tu baisses d’un ton j’suis pas ta pote. Sinon je te mets une raclée pour te remettre les idées au clair. »
Je me contente d'un grognement plutôt que m'excuser pour mon attitude. Tu me connais assez, t'as l'habitude certes et surtout tu devines aisément qu'il y a un truc qui me bouffe, au travers de mes sautes d'humeur.
« Qu’est-ce que tu as Car’ ? Tu sais que tu peux tout me dire. Alors au lieu de me parler comme à un clébard, explique que je puisse t’aider ! »
- Oublie, t'es ni ma pote, ni ma confidente, charriais-je. T'écris à qui là, t'es collée à ton foutu téléphone depuis que t'es arrivée frangine, ça cache quelque chose... .
L'art de dériver de façon on ne peut plus grossière et évidente. Chacun sait que quand je ne suis pas décidé à m'épancher, y'a pas moyen de me tirer le moindre traitre mot. Je n'ai nullement besoin de ruser en prenant des chemins de traverses pour détourner l'attention d'ordinaire mais somme toute, dans le cas présent, je dois avouer que ça m'intrigue cette histoire de messages. Je vois bien à ton sourire qu'il s'agit de ce genre de messages qu'on échange avec impatience à ta façon de souvent zieuter l'écran dans l'attente de la réponse. Souvent, l'échange peut se révéler assez intéressant pour susciter ce genre de réaction mais je sens anguille sous roche. Il y a un mec derrière ça.
Le frère a une place importante dans le cœur. Et bien plus encore, alors qu’il est un membre aimé de l’âme. Le corps pourrait tout faire pour lui. Aussi, la taquinerie est de mise, alors que l’esprit possède des photos de lui pouvant le compromettre. Bien sûr, jamais dans un but malhonnête, mais ça, il n’est guère obligé de l’apprendre. Un rire s’échappe des lèvres, alors que la main vient frapper sa tête doucement, par une petite claque qui ne fait que le frôler. « Ça va les chevilles oui ? » Mais le frère a toujours été mignon, bien plus que l’âme. Soupirant, les yeux ne le quittent pas lorsqu’il va mettre le film en route. Frère ainé venant se réinstaller sur les genoux, avant que la voix ne s’échappe pour lui demander ce qu’il y a nouveau dans sa vie. Aussi, face à sa réponse de malotru, la réplique se veut rapide et sans équivoque. Rappel que le corps n’est pas ami mais fraternel, aussi, s’il le vaut, une raclée peut avoir lieu pour remettre les idées de Carsten en place. Reprenant la parole, les mots s’échappent avec aisance. Si le Blackwood agit de la sorte, c’est sans doute que quelque chose le tracasse. Répondant rapidement à Arès, les doigts reposent le téléphone sur l’écran, pour ne plus être dérangée. Soupirant, le cœur se trouve agacé à l’idée de le voir réagir ainsi. Aussi, l’esprit va pouvoir jouer à la réplique parfaite. « Oublie, tu n’es ni mon pote, ni mon confident. » L’esprit pouvant jouer lui aussi, sur les mots. Corps se redressant correctement dans le canapé, forçant Carsten à se redresser. Les jambes viennent se croiser en tailleur, alors que le regard sérieux se plante dans celui du grand-frère. « Pourquoi je devrais te parler alors que toi, tu ne le fais pas. Je ne suis plus une enfant Car’. » Dans le fond, le cœur est blessé de voir qu’il n’a pas autant confiance pour avouer ce qui le tracasse. Soupir poussé, alors que les yeux se portent sur le téléphone. Envie cuisante de regarder si Arès a répondu, mais la conversation avec Carsten est bien plus importante actuellement. Surtout que si le frère venait à apprendre pour qui le cœur bat la chamade, nul doute qu’il en parlerait au paternel et les choses seraient encore plus compliquées. Mais le frère semblant rester dans un mutisme. Soupirant lourdement, le doigt appuie sur le bouton de la télécommande, pour reprendre le film. « On regarde le film et je m’en vais. » Le corps se sent pourtant fatigué. Cela fait plusieurs nuits qu’il n’a pas eu de sommeil. Tête s’appuyant sur le haut du canapé, avant d’attraper le téléphone à l’abri des regards, pour répondre à Arès. Dans le fond, les pensées n’arrivent pas à se concentrer sur l’écran, bien trop déçue du manque de confiance flagrant.
(c) Dandelion
Astéria Blackwood
Carsten Blackwood
s’énerve très facilement
Carsten Blackwood
Messages : 131
Date d'inscription : 06/05/2022
Âge : 39 ans
Situation amoureuse : père célibataire
Orientation : bi
Enfants : Deva, ma fille de 6 ans
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Lun 5 Sep - 12:02
Asteria & Carsten
« Pourquoi je devrais te parler alors que toi, tu ne le fais pas. Je ne suis plus une enfant Car’. »
- Humpff...
Tu soupires et remets la lecture en route.
« On regarde le film et je m’en vais. »
- As... soupirais-je. T'es aussi fière que moi, ça sera jamais donnant donnant entre nous. Tu parleras jamais même si je parle, pas vrai ?
Je m'assieds dans le canapé et me penche en avant, tête plongée entre les mains. Je me vois mal te parler d'Ana vu les circonstances que ça implique. Il s'agirait d'une attirance lambda, aucun risque mais l'affaire qui se cache à la base derrière tout ça n'a rien d'anodin. Personne n'est au courant ni ne doit l'être. Je me suis enfoncé tout seul même si je n'ai finalement rien contrôlé. Peut-on vraisemblablement faire barrière à quelconque sentiment qui émerge au travers d'une rencontre ? Qu'elle ait été calculée ou non ?
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